À l’heure où les débats sur la liberté d’expression en situation de crise est sur toutes les lèvres des praticiens de l’information et de la communication, un colloque va ressasser les questions cruciales du domaine à l’université Joseph Ki-Zerbo.
En effet, du 14 au 16 novembre, les enseignants-chercheurs, les étudiants et étudiantes, les hommes de médias vont se rassembler autour d’une Agora sous forme de colloque.
Le premier jour, les choses commencent de fort belle manière avec la Conférence inaugurale le 14 novembre prochain avec la conférence animée par le Professeur Serges Théophile BALIMA dans la salle des actes du bâtiment PSUT de l’Universite Joseph Ki-Zerbo.
Par la suite, les présentations porteront sur quatre (4) axes à savoir :
- <<les nouvelles formes de productivité, de circulation et de consommation de l’information>>,
- <<les nouveaux modes d’expression citoyenne : facteurs de promotion de la désinformation ou de la parole publique?>>,
- <<les défis de la gouvernance des entreprises et des organisations face aux réseaux sociaux numériques>>,
<<Contexte de crise et appel à une réinvention des métiers de l’information et de la communication>>.
À en croire les animateurs de la conférence de presse tenue le 5 novembre 2024 à l’université, les enseignants-chercheurs, les hommes de médias sur le terrain sont concernés par ce colloque.
Au total, ce sont 250 participant et participantes qui sont attendus à cet événement capital pour les hommes de medias.
À en croire, les organisateurs, les communicateurs viendront du Burkina et de d’autres pays tels le Bénin, le Cameroun, la Cote d’ivoire, le Gabon, le Congo, le Maroc, le Togo et la France,
attendus à ce colloque international de trois jours, qui reste ouvert au grand public.
<<Cette activité est un peu plus du côté de la recherche, mais c’est la recherche qui alimente nos enseignements et qui nous donne des éléments pour être plus efficace en terme d’appui à la communauté. Des dispositions ont été prises pour une pleine participation des étudiants de la 1ère à la 3e année de Licence et ceux des Masters, pour qu’ils puissent s’imprégner des réflexes du chercheur>>, a déclaré Dr Lacina KABORE, Directeur de l’IPERMIC.
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Ernest BONDAONE
